A compter du 1er septembre 2023, la nouvelle logistique d'AIDE AUX PROFS te permet d'aller enseigner/travailler en SUISSE, dans tout domaine d'activité, quel que soit ton objectif d'évolution professionnelle !
Quitte à investir du temps, des compétences, du travail, autant que la rémunération soit en rapport, et permette des perspectives de carrière et de rémunération réelles, sans avoir à attendre l'augmentation du point d'indice de l'Etat ou une quelconque augmentation qui en France se traduit dans l'Education nationale par du travail en plus (cf "revalorisation 2023").
Ton Master 2 vaut Bac+5. Avec ce Master 2, tu as un diplôme d'ingénieur en Formation !
Tu pratiques instinctivement l'ingénierie de formation au quotidien :
a. Analyser une situation
b. Concevoir une réponse adaptée
c. Réaliser cette réponse (séquence pédagogique)
d. Evaluer ton public
Si tu ne veux pas brader ton Master 2, prends confiance en toi, et intéresse-toi aux pays qui peuvent te rémunérer 2 à 3,5 fois plus que la France ! La SUISSE subit comme la France un papy-boom important, de nombreux emplois se libèrent !
De 2019 à mai 2023 nous avions mis en ligne, à l'essai, toutes les informations nécessaires pour faciliter la compréhension du mode de fonctionnement de la candidature vers la Suisse. A compter du 01.09.2022, nous mettons en place une nouvelle logistique, avec une coach spécialisée sur l'intégration du marché du travail Suisse pour toute personne issue d'un autre pays.
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En France, avec les inflations annuelles 2022 (plus de 6%) et 2023 (déjà 6% mi-mai) , tu te sentiras bientôt pauvre même avec un salaire revalorisé à 2.000,00 € nets en début de carrière et jusqu'à 500,00 € de plus par mois si tu travailles nettement plus: en signant "le Pacte".
Si tu signes le Pacte, tu gagneras avec ces primes le même salaire que celui qui t'attend 15 à 20 ans plus tard avec ton seul salaire indiciaire, au moment où tu n'auras peut-être plus envie de signer le Pacte !
COMMENT GAGNER BEAUCOUP PLUS QUE LE PACTE EN RESTANT ENSEIGNER ?
En Suisse, ton salaire sera bien plus élevé qu'en France, sans avoir à travailler toujours plus pour espérer une revalorisation qui te décevra toujours, car la France n'a pas eu la même politique que la SUISSE depuis 40 ans: la France a fait le choix de laisser, année après année, le pouvoir d'achat de ses professeurs se dégrader. Depuis 40 ans, les professeurs ont perdu en moyenne 33% de pouvoir d'achat, et sur ces 40 ans, un professeur a perdu au moins 150.000,00 € en comparaison d'un cadre A en administration ou en entreprise, qui a bénéficié de primes fixes et variables et de nombreux avantages sociaux. Cette somme est la valeur d'un F2, parfois F3 en France, c'est dire la dégringolade du professeur dans l'échelle des revenus en France.
Commençons par le témoignage de Laure, professeur formée en France, devenue professeur en SUISSE !
Vous êtes devenue PE dans l'Education nationale après avoir réalisé une formation à l'IUFM de Créteil. Pourquoi avoir choisi ce métier, et avez-vous été satisfaite de la formation initiale ?
Depuis l’adolescence, mon souhait était d’être enseignante.
La formation dans l’académie de Créteil a été très enrichissante et m’a préparée, à mon sens, de la meilleure des façons, en me permettant de faire face à un grand nombre de situations.
Pendant 5 ans vous enseignez en France. Quel bilan faites-vous de cette expérience, au niveau pédagogique et au niveau des relations que vous avez pu avoir avec l'inspection, votre direction et administration ?
Si j’aime repenser à mes premières années d’enseignement, c’est grâce aux conseillers pédagogiques qui m’ont suivie, ainsi qu’à mes collègues.
Les premiers ont été d’un professionnalisme à toutes épreuves. Je leur dois beaucoup. Une observation fine de mes pratiques, pour le moins tâtonnantes, une posture positive, un feedback constructif, un étayage personnalisé qui partait de mon contenu.
J’ai fait partie de la vague d’enseignants qui a peu eu de cours à l’IUFM. Nous avons obtenu le concours en juillet, pour être ensuite « lâchés » en classe, en septembre pour le premier groupe, et en octobre pour le deuxième, auquel j’appartenais. Le découpage était 80% en classe en responsabilité et 20% en formation à l’IUFM.
Ce qui était difficile et peu intéressant d’un point de vue pédagogique, c’était que pendant les périodes de formation en IUFM, nous nous remplacions mutuellement en classe entre enseignants stagiaires. C’est ainsi qu’en octobre, ma première classe en Seine Saint Denis fut celle d’un enseignant du groupe A démissionnaire.
Lors d’un match de handball à l’IUFM, je me blesse. Je me retrouve immobilisée quelques semaines. Quelle chance ! Mon « planning de prise de classe » ayant été chamboulé, me voilà remplaçante d’un enseignant chevronné ! Se mettre dans les chaussons d’un collègue expert, ayant des pratiques claires, ritualisées et motivantes pour les élèves m’a permis de faire évoluer ma pratique rapidement, du moins en théorie.
En cinq ans, j’ai navigué dans huit écoles. Les différentes directions n’ont pas été facilitatrices, excepté ma première directrice, à Saint Denis.
C’est à mes différents collègues que je dois, en grande partie, ma posture professionnelle. Partage de pratiques, dons de supports, oreille attentive, conseils avisés, répartie humoristique. Un grand merci à mes premiers collègues !
En 2015 vous devenez enseignante contractuelle en Suisse. Comment avez-vous réussi ce changement ? Quelles en sont les étapes précisément ?
Votre tournure de phrase me fait sourire. Dans la vie, tout est affaire de relations humaines… J’ai rencontré l’homme avec lequel j’ai à présent fondé une famille. Il a été muté à Genève et m’a lancé un « tu viens, il y a des écoles aussi là-bas ».
Depuis 5 ans vous avez obtenu un CDI. Quelles sont les étapes précisément pour décrocher ce poste définitif ?
J’ai commencé par obtenir une équivalence de diplôme.
Ce n’est qu’une formalité, un épais dossier à remplir et à nourrir de différents documents.
J’ai ensuite démarché les écoles en envoyant des cv, sans succès. J’ai travaillé pendant une année en tant qu’assistante éducatrice en crèche. Comme l’école commence plus tard en Suisse (il n’y a que deux années de maternelle), j’avais le groupe des 2-4 ans et j’y faisais plus ou moins mon travail d’enseignante de maternelle. Cette année a été incroyable et j’ai beaucoup appris au contact de mes collègues, ainsi que de la directrice. De vraies spécialistes de la petite enfance, très impliquées et pertinentes dans leur approche.
Parallèlement à cela, j’essuyais un refus de la CDIP, équivalent de l’Education nationale.
Je parviens tout de même à intégrer le service des remplaçants. Quelques journées, semaines puis deux longs remplacements de presque 5 mois chacun.
Ces expériences ont été très riches sur le plan pédagogique.
Deux lettres de recommandation m’ouvrent ensuite les portes de deux écoles privées genevoises.
Quelles différences et éléments communs entre le métier de professeur en France, et en Suisse, au niveau du 1er et du 2nd degré, pouvez-vous nous les expliquer ?
Je suis enseignante au primaire. Fondamentalement, une classe est une classe. Les différences d’un pays à l’autre sont, de mon point de vue, minimes.
Alors oui, l’enseignement de l’écriture est différent, la cursive Suisse implique une gestuelle spécifique, plus coûteuse en temps et en énergie, et a un rendu visuel différent de la française. En géographie, le relief et les cantons suisses priment bien entendu. En mathématiques, les supports du DIP sont davantage axés sur le développement des compétences de recherches par tâtonnements et de logique. En Histoire, les scénarios pédagogiques proposés par le PER (le Plan d’Étude Romand) sont universitaires et complexes en termes d’appropriation, en comparaison d’un manuel français, mais d’une pertinence rare.
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Si tu souhaites devenir professeur en Suisse et être 2 à 3 fois mieux payé(e), AIDE AUX PROFS a conçu une nouvelle option d'adhésion très efficace !
1. Tu complètes le formulaire d'adhésion en option "SUISSE" à compter du 01.09.2023.
2. Une fois adhérent(e), tu es invité(e) sur le portail APRES PROF sur notre plateforme Whaller où un module te renseigne sur les modalités de candidature vers la CDIP en SUISSE.
3. Avec une remise de 10% sur ses tarifs habituels, tu bénéficies d'un coaching d'1 séance, de 5 séances ou de 9 séances, selon l'option choisie, avec Christine FUENTES, notre partenaire, Coach, qui connaît parfaitement le marché SUISSE, et t'accompagnera de A à Z dans toutes les étapes de ton évolution professionnelle vers ce pays neutre à l'excellent niveau de vie et environnement naturel, jusqu'à t'expliquer comment t'intégrer socialement dans ce pays frontalier !
Ainsi, tu peux rêver en grand: enseigner (ou) travailler en SUISSE est à ta portée !
4. Si tu es contractuel(le), il te suffira de rompre ton contrat avec 1 à 3 mois de préavis pour être recruté(e) en SUISSE. Si tu es fonctionnaire, AIDE AUX PROFS peut t'accompagner en parallèle dans ta demande de disponibilité, de démission simple ou de demande d'Indemnité pour Rupture Conventionnelle (IRC), et ainsi faciliter ton évolution professionnelle.
Grâce à ce nouveau partenariat, professeur diplômé d'un Master 2 ou de tout autre diplôme de haut niveau, tu as le droit de voir ton rêve se concrétiser de gagner dans un an ou plus, 2 à 3 fois plus que le salaire moyen de 2.490,00 € des professeurs en France.
Un professeur débutant en SUISSE gagne 5.000,00 € à 6.300,00 € /mois selon le Canton de recrutement. Leur échelle indiciaire et leur parcours de carrière est nettement plus intéressant qu'en France !
Meriah (mercredi, 09 août 2023 18:36)
Bonjour,
J’ai un Master 2 MEEF mention Éducation Physique et sportive dans le second degré.
Je souhaite travailler en suisse
Cordialement
Catherine Rny (mardi, 27 juin 2023 22:14)
Bonjour,
j'envisage d'aller enseigner en Suisse également, dans le canton de Genève.
Est ce que le B2 allemand est nécessaire pour enseigner dans les écoles privées ? Car j'ai vu que pour la CDIP, pour enseigner dans le public il est nécessaire...
Merci pour votre réponse.
Catherine